Dimanche 11 février, Nicolas a rassemblé ses comités de soutien, dont je fais parti.
C’est devant près de 4000 personnes, qu’il s’est posé en rassembleur et a opposé au « Pacte Présidentiel » de sa rivale un « Pacte Républicain » pour rassembler les Français.
Nicolas souhaite bâtir avec tous les Français un nouveau « Pacte Républicain » fondé sur « la confiance et le respect », et d’ajouter :
« Si je suis élu, je serai un président pour tous les Français, y compris ceux qui ne m’ont pas choisi. Je parlerai au nom de tous les Français, je serai leur porte parole ».
Quand le même jour Mme Ségolène ROYAL dès le début de son discours, s’est montrée soucieuse du poids de la dette publique, qui est devenue « insoutenable », a rappelé que les « intérêts qu’elle génère sont devenus à eux seuls la deuxième dépense du budget de la nation ».
Elle n’a cependant pas clairement dit comment elle comptait concilier cette préoccupation avec les 100 propositions de son « Pacte Présidentiel ».
Nicolas, contrairement à sa principale adversaire, à l’avantage d’être sûr de ses convictions, sûr de ses valeurs, sûr de son projet et croit fermement à la nécessité d’une ouverture aux autres, et n’a lui, aucune réticence à affronter des idées différentes, des opinions différentes, que cet échange peut être fécond et enrichissant ».
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